La question, Gilles Bonafi est : de quel pouvoir on parle ?
Celui de la finance ?
Par ailleurs, votre définition ne répond en aucune façon à la question : qu’est-ce que le renforcement de la (dite) gouvernance ?
Mais je vais tenter une réponse à votre place : vous prônez encore plus de pouvoir à la finance : demain nous serons tous Grecs.
Il est temps que cela cesse, et vos indices n’y changeront rien.