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En réponse à :


contre exemple exemple 3 juillet 2013 02:42

Bonsoir Monsieur Chalory,

je me permet de glisser sous votre commentaire un court billet pour :

D’une, vous présenter des excuses pour un propos fort mal tenu il y a de cela quelques mois,
suite à une qualification que vous jugiez poétique, sur un texte qui il est vrai, fut sans intérêt.

De deux : Je vous invite par la même occasion, si vous le désirez, à reformuler votre adjectivisation de ce dit texte, car il me serait fort déplacé de vous ré-annoncer qu’il ne s’agissait en rien de poésie, ne doutant pas que vos connaissance en la matière soit ample.

De trois : La réaction qui suivit votre qualificatif fut totalement démesurée, il fut été fort plus judicieux de la part de l’auteur de ce re-dit texte, d’exposer plus avant la nature de cette forme d’art sans plus d’intérêt.

De quatre : La confusion est d’autant plus regrettable, qu’avant la mise en pratique et la vaine tentative d’explication introductive de cette homophonie manuscrite, l’auteur avait pris soin (non sans plaisir) de découvrir votre pratique personnelle de l’art, et son regard fut curieux et sensible à vos créations. Depuis ce temps écoulé, il a d’ailleurs de nombreuse fois eu l’occasion d’apprécier votre démarche artistique, et n’as pas hésité à la faire connaître et partager. L’évoquation provoquée (bien qu’induite serait plus juste) est forte, et ramène à des inspirations très appréciables (mais je n’oserai m’élancer plus, la peinture n’étant praticable pour moi, je dessine tel un enfant de trois ans à peine.) J’ai eu cependant le chance de rencontrer des gens qui m’ont initier à l’art de l’appréciation des toiles.

De cinq : Ceci répondant (dans la mesure d’une approche) à la question posée ici par l’autrice, qu’il est en effet possible de penser l’art, si cela impose parfois une pré-approche, afin de pénétrer la subtilité de l’artiste, qui au demeurant voit lui très bien la finalité de son œuvre. La presque totalité des livres ont bien une préface par exemple, les films sont précédés d’une bande annonce, les expositions d’une affiche, etc..., votre commentaire lui-même se voit conclu par un lien vers votre site, ou pourrait-on dire dans ce cas précis, que le lien vers votre site se voit porter le poids d’un commentaire, lui-même portant le poids d’un commentaire, etc..., le tout supportant le poids de l’article portant quand à lui le poids d’une seule question que je me permets de rapporter ici bas : « Est-il réellement possible de penser l’art ? » De toute évidence, le poids soutenu par chaque commentaire à la première tentative de réponse portée en premier lieu par l’autrice ici dénommé Panthera Leo, contribue à fournir une bout de réponse, ou au moins une explication non vaine. Mon propre commentaire, pour autre exemple, est une forme détournée de l’art, puisque la première intention de celui-ci fut de vous présenter des excuses, ce que je viens de plus de refaire. Le regret réel dans cette démarche escalier est qu’il faut se faire à l’évidence que cet ensemble, que l’on pourrait nommé ici avec un brin d’humour décalé, de systémique, est voué à prendre fin d’ici quelques jours, lorsque cet article sera enfouit lui-même sous le poids des articles de demain, etc... Nous pourrions par jeu et par démarche artistique prolonger l’expérience en agrémentant régulièrement ce fil de commentaires, et par là même faire avancer ce débat qui lui n’est pas sans intérêt. Qu’en pensez vous ?

De six : Les articles récents que vous avez proposez sur ce site participatif, et qui ont eu la chance d’être publié, ont tous retenu mon attention, même si je n’ai ni apposé de clic votant ou de commentaire réjouissant (certains sujet étant tout de même dans ce propos) ni forcement encouragé la propagation de certains sujets, pour le moins à ne pas sous des yeux non-avertis.

De sept : Votre commentaire sur ce premier article absolument fantastique de Panthera Leo, est tout à fait pertinent et enrichissant. L’idée même de le remodeler en une version doublée de phonétique m’a tenté, mais ce serait alors une mise en évidence de ce que vous qualifier « de discours justificatif d’une platitude désolante » et je ne me risquerai plus à des tentatives tentaculaires que l’on pourrait facilement qualifier de non concrète plus que d’abstraite. smiley

De huit  : Pour conclure (ce commentaire-excuse pour la troisième et dernière fois) j’avancerai l’idée que « le vrai est tailleurs si l’œuvre est ailleurs.« Je me proposerais par la suite (juste après et en bas de fil (ce qui je l’espère pour la science de l’art ne durera pas ( le bas pas le fil))) de répondre à la dite question de Panthera Leo, que je rappelle afin que l’on ne se méprenne pas sur la présence de ces lignes  :  »Est-il réellement possible de penser l’art ?« en lui précisant simplement que mon point de vue à la question posée, se trouve plus haut sur le fil, précisément sous votre commentaire. Au plaisir de lire vos prochains articles et de profiter de vos créations à venir.

De neuf : rien de plus depuis la série appelée »De huit".


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