Ces richesses provenaient de legs et de dons fait par des générations et des générations de fidèles à leur église.
Et oui, c’est bien connu, la dîme n’était pas un impôt mais un leg ou un don. Pas étonnant qu’avec 10% du PIB de l’époque, l’église ait pu se payer quelques jolis tableaux...
Si des citoyens veulent donner leur blé, ou n’importe quoi à un culte, qu’ils le fassent. Mais cela me vexerait de voir le retour de la dîme. On a mis suffisament de temps à se débarrasser de ces pratiques féodales.