@Denis Szalkowski
Parler en verres c’est sans doute plus facile, à condition d’être
exact sur les quantités d’alcool contenu dans chaque verre et puis je le
répète, ce n’est pas le nombre de verre qui définit la dépendance mais le
rapport au produit. Si toutes les
personnes ayant une consommation supérieure à 4 verres pour les hommes et 2
pour les femmes étaient alcooliques, le chiffre global serait bien plus élevé
que 2 millions de français.
L’alcoolisme est une maladie pas un vice ni un défaut de
volonté. Les malades atteints de cancer sont il coupables ?
Certains s’en sortent seuls, à force de volonté et de
courage en contournant la dépendance par l’abstinence. Ceux qui y réussissent
de façon durable sont extrêmement peu nombreux.
Désolée mais quand on écrit un article, on se débrouille
pour que ce que l’on raconte soit juste. Je ne comprends d’ailleurs pas que
votre article soit passé. Il n’apporte rien à part une polémique stérile. Comme
vous le dites, épidermique …