On remarquera que dans le roman le vaccin est en fait une poudre de perlimpinpin et que le magnat de l’industrie pharmaceutique corrompu qui l’avait inventé, apparemment devenu l’homme le plus haï du monde, vit désormais isolé dans une base en Antarctique.
Décidément, ce film est un désastre à ranger dans la catégorie des adaptations foireuses quelque part au côté de « la ligue des gentlemans extraordinaires » et du film « Iznogoud ».