Je viens de relire ce que j’ai écrit hier soir, tard, à propos de M. Gomez, et me rends compte que j’ai écrit sans discernement.
Alors je rectifie : si M. Gomez est un nostalgique de l’Algérie française, je pense toujours qu’il a tort ( car personne n’a le droit de préempter un territoire qui appartient à autrui), mais que je peux comprendre un attachement sentimental de cette nature ; et donc je retire le mot « imbécile ».