c’est tout simplement parce que la zone a été mise en attente de construction de l’aéroport depuis les années 70 : la nature a eu le temps de reprendre ses droits...si il n’y avait pas eu ce projet, les cultures intensives y auraient eu lieu, comme partout, et le bocage n’existerait pas.
Donc en l’état de projet, l’aéroport a été un bienfait... qui serait anéanti si l’aéroport était effectivement construit (ce qui, heureusement, ne va pas arriver... en tout cas, c’est à espérer).