C’est vrai que la thèse du « sabotage » ou d’un « acte de malveillance » est difficilement envisageable surtout qu’un train (le 14055) est passé sur la même aiguille 29 minutes avant et que déboulonner 4 boulons serrés à refus à la visseuse sous les yeux d’un poste d’aiguillage situé à proximité parait peu plausible. Maintenant on peut aussi envisager un déboulonnage partiel en catimini auparavant. Quand à la raison pour attaquer le train et ses voyageurs, on est d’accord ce n’est pas plausible, « ils » auraient utilisé le moyen du signal d’alarme comme à Grigny.