J’ignore ce qu’il en est dans les autres pays, mais en France en milieu hospitalier on ignore la douleur et on ne veut pas en tenir compte.
Est-ce un fond de ce vieil héritage judéo-chrétien inconscient qui veut que la douleur soit rédemptrice et que le patient n’a qu’à supporter stoïquement ?
Récemment, je me suis affrontée à un spécialiste hospitalier qui m’a soutenu que le traitement était indolore (alors que j’avais trouvé des témoignages sur internet de patients qui se plaignaient de leurs souffrances non soulagées) et que de toute façon il n’était pas spécialiste de la douleur. Sous-entendu qu’il ne ferait rien pour la diminuer ou l’arrête.
Cela concernait un adulte, alors on peut imaginer quand cela concerne un enfant.