Esthétiquement, les caisses des 50’s en avaient, de la gueule, mais c’était à peu près tout.
Des mécaniques peu fiables qui ont fait la fortune des garagistes de la Nationale 7, une consommation de carburant qui ferait passer un Boeing actuel pour un modèle de sobriété, un son moteur qui rendait vaine toute tentative de dialogue les vitres ouvertes et qui changeaient les boulevards périphériques en aéroports un jour de folie ou tous les pilotes auraient décidé de faire un concours géant de Burn out ou de wheeling, sans parler du plomb craché par les pots et qui changeaient les arbres alentours en pylones gris et morts...
Non, la modernité, cela a du bon quand même.