Dans le même genre, en France il y a les correspondants locaux de presse. Pas de contrat, pas de sécu, pas de vacances, virés d’une minute à l’autre, s’engageant à ne jamais prendre de vacances ni de week-ends, en théorie indépendants mais en réalité aux ordres du rédac chef. Et payés uniquement si leur article est publié. S’il est « oublié » tant pis, pas de paie, même s’il a été écrit à la demande du rédac chef.
Spartacus, j’espère que je vous ai donné une bonne idée pour réaliser votre rêve : des esclaves gratuits !