Bonjour Nabum
Le bonheur : une
douche chaude après 50 km à vélo, puis un bref jet d’eau froide, à
commencer par les jambes. Puis étirements.
A la ferme familiale d’autrefois,
pas de douche. Chaque dimanche matin, chacun passait à la fontaine
pour des ablutions plus approfondies que la vague trempette quotidienne du matin.
Il ne fallait pas sentir la vache à l’église...Mais les odeurs ne
gênaient pas, celles de l’étable les
couvraient.
Etudiant fauché à Paris, je fréquentais
gratuitement les
bains-douches publics.
Ils reprennent du service avec le
développement de la pauvreté...