Saillie taubiresque d’Askolovitch sur Paul Blondel, ce citoyen mort pour avoir fait son devoir : « Ce monsieur est infiniment pitoyable parce qu’il est mort. Il ne faut pas l’ériger en modèle, il a transformé deux voyous merdeux en assassins ». Tant qu’à faire, Askolovitch devrait sans tarder présenter ses hommages à la famille de l’assassin. Dans quel monde vivent les journalistes ? Après le « minable » de Zayrault sur Depardieu, voilà que Paul qu’un citoyen courageux est qualifié de « pitoyable » par un scribouillard socialiste...