A priori, si l’anévrisme a été comblé/réparé, il n’y a pas de raison pour qu’il y ait récidive.
Dans ce type de cas, c’est bien la rapidité d’intervention qui est primordiale, et la distance qui vous sépare d’un bloc opératoire spécialisé. Et là, c’est un peu le loto quand on est en province. C’est tout le débat des réformes en cours : garder des petits hopitaux de proximité ou concentrer les moyens dans des centres mieux équipés mais plus distants...
Tous mes voeux en tout cas pour son rétablissement !