Vu que des oeuvres littéraires reconnues ( les onze mille verges, Lolita par exemple ) possèdent des passages pédopornos, je pense que les premiers procès vont être pain bénis pour les avocats de la défense.
Le CC va devoir trancher, et je n’aimerai pas être à leur place : soit ils révoquent la loi et s’attirent les foudres des associations de défense des enfants, soit ils la confirment mais les avocats auront beau jeu de souligner les incohérences de traitement.