Votre argument qui tient bien la route, à mon sens, ce sont les capacités défensives prêtées à la Syrie par l’Iran et la Russie.
J’imagine mal les USA attaquer les bases radar ou même les bateaux russes pour pouvoir lancer leur attaque.
On a donc plus affaire à une mise en garde formelle de la Russie.
Vacances ou pas du congrès n’auraient rien changées.
Dans l’épisode de la crise de Cuba l’histoire officielle n’a retenue que la détermination de Kennedy à ne pas céder sur la présence de missiles soviétiques. Il y avait cependant une contrepartie (les missiles américains en Turquie).