Bonjour,
« Le rapport au sacré comme le rapport à la réalité passe par le collectif. »
Le collectif donne une juste validité artificielle à la croyance ou l’hallucination. « Ne crois en rien, sois », disent les messages spirituels les plus profonds. Il s’agit de reconnaître l’expérience du présent en élmininant petit à petit les croyances et les interprétations, et nécessairement se libérer du collectif.
L’aspiration au sacré et à une notion collective de réalité reflète dans notre sommeil, un plan de conscience vers lequel, vraisemblablement, nous aspirons à retourner.
La chose la plus difficile à comprendre au monde, c’est que c’est à l’intérieur, en soi-même que se trouve la clé. Les idées sont des impasses, même si elles englobent le rêve collectif de réalité partagée, car elles ne permettent pas de déverrouiller la perception. Au contraire, elles verrouillent « par le haut » le système de tension qui maintient la personnalité, et le sentiment d’être différent des autres.... Le sacré colectif est seulement une consolation d’avoir perdu le lien.
peut être voyez-vous celà ?
Bonne journée.