Dans mon enfance, dans les années 70, les coureurs qui arrivaient en fin d’étape, au sommet des cols, s’écroulaient de leurs vélos et avaient du mal à retrouver leur respiration .
Depuis les années 90 , et l’arrivée de l’EPO, plus rien de tout cela . Nous avons des robots, des machines à pédaler . Ce sport a perdu son âme mais il n’est pas le seul .
Le Tour a la chance de posséder une histoire ou des hommes comme Bartoli ont leur place, mais des Indurain, Armstrong, Froome et compagnie, font tout ce qu’ils peuvent pour briser cette image .