Bonjour, Alinea.
En réalité, ce qui faisait la beauté du travail paysan d’autrefois, même lorsqu’il était rude et porteur de désagréments, c’était son caractère à la fois artisanal et solidaire. Après est venu le temps des regroupements d’exploitations, puis celui de l’industrialisation.
Des moissonneuses-batteuses, seule une petite minorité de paysans en possèdent une en Auvergne. De nombreuses Gaec n’ne sont même pas équipées. Il est vrai que l’on est là (les Limagnes mises à part) sur des exploitations principalement d’élevage où les cultures céréalières sont plus marginales, et cela d’autant plus que les rendements sont médiocres.