Si les sommes énormes jetées sur les tapis du casino de Wall Street pour faire grossir les porte-feuille des « happy few » étaient directement injectées dans l’économie réelle on en serait pas là. Quand je pense que lors du « 9/11 » on déclarait aux traders de GS que c’était une occasion « rêvée » de fraire du fric, ça fait frémir d’angoisse. Quel cynisme !