Mieux
vaut un p’tit verre de temps à autres,
que de passer sa vie le nez dans le verre, quoi que dans le vert. 
Comme l’oiseau a besoin de ses ailes pour voler,
on a tous besoin d’amour,
et aujourd’hui sur l’Agora, au secours... 
C’est en buvant n’importe quoi, qu’on chope n’importe qui.

Pas besoin de défense, vous avez donné l’exemple, mais
non non, pas parasite ni intellectualisation, pas de case ni de préjugé. 
Voyez voyez, l’air de rien nous avons communiqué grâce au bisous (j’ai pas dit
un monde de bisounours), loin des faux débats, c’est tellement plus tendre et
puis il reste encore l’autre joue, and love again...
