@ Emmanuel Aguéra
Tu dis « on nous donne ce qu’on demande » ; je ne suis qu’à moitié d’accord avec toi.
Car je pense qu’on nous impose sournoisement, ce que l’on nous donne l’impression de demander...
Et la nuance n’est pas minime !
Pour faire simple : on ne peut pas demander quelque chose qu’on ne connait pas ; par contre, on sera facilement demandeur d’un truc, d’un sujet, d’une mode, qu’on nous surine plus ou moins discrètement.
C’est mon point de vue : nous ne sommes pas responsables, car trop faibles pour influer, mais victimes. Il n’y a qu’à voir les piteux résultats des boycots.
En tous cas, ceux que tu classes dans les « demandeurs » sont des victimes graves, sans conscience, ni foi, juste avec un nombril !