Merci. Le lirais, promis. Le nom des miens est resté enfoui dans l’oubli et les fosses communes de l’histoire. Un seul a survécu à l’Ebre aprés Teruel, et fui de St Cyprien et son sable piquant vers le nord. La 2ème guerre mondiale le rattrapa et il reprit armes et maquis. Il est mort seul exilé mais je l’ai connu. El tio José.