1000 emplois menacés chez un concurrent de Doux qui réalisait 90% de son chiffre à l’export.
Depuis trois ans, nous ne sommes plus compétitifs à l’export sur le poulet et nous nous faisons tailler des croupières par nos amis allemands qui ont trouvé le moyen, déloyal certes, de baisser leurs coûts de production alors que notre gouvernement de sots s’acharne lui à les relever. Avec un euro trop fort, et une crise qui s’étire, comment peut-on imaginer conserver des emplois déjà fragiles. Tout s’effondre, et vous lancez au plus mauvais moment vos oukases contre nos producteurs accusés de produire de la merde et de polluer. Facile, trop facile de critiquer assis confortablement derrière son écran plat.