Qualifier en permanence ces taxes
d’« écologiques », n’est certainement pas la meilleure manière de
communiquer l’étendue et urgence du problème ... :
http://blogs.mediapart.fr/blog/yt75/030713/transition-energetique
(c’est à dire le fait que même si l’on préfère la valse des
étiquettes financières, la crise est surtout un monstrueux choc
pétrolier qui ne fait hélas que commencer).
Car la situation c’est ça :
http://iiscn.files.wordpress.com/2013/05/jlliquidsworld.jpg
Il serait vraiment temps d’être au courant ...
Mais il est vrai que cette ecotaxe ça sent aussi quand même beaucoup la sur-complexité :
« Comme si tout cela ne suffisait pas, il faut enfin installer les
équipements qui permettront de collecter l’écotaxe. Une architecture là
encore extrêmement complexe, puisqu’il s’agit de hisser 176 portiques de
contrôle aux points stratégiques du réseau (coût : entre 0,5 et 1
million d’euros pièce), de poser un demi-million de boîtiers dans les
camions (caution à verser égale à deux mois d’écotaxe) et de mettre en
place une puissante infrastructure informatique et de
télécommunications. Après appel d’offres gagné par l’italien Autostrade –
puis annulé par le tribunal administratif avant d’être validé en
juillet 2011 par le Conseil d’Etat –, sa filiale nouvellement créée,
Ecomouv’, signe enfin avec l’Etat, en octobre 2011, un contrat de
quelque… 5.000 pages ! »
(article les echos)