Marchais n’a jamais été en Allemagne dans le cadre du STO, mais dans celui de la « relève » . Les allemands promettaient le retour d’un prisonnier pour 3 ouvriers volontaires, avec de bons salaires et des « permissions » régulières ; GM, qui n’était pas politisé à l’époque, n’est pas reparti après l’une d’elle. Les STO n’avaient aucune de ces facilités.
S’il avait été embauché chez Gnome-Rhone, dans le 13°, il aurait fabriqué des moteurs pour Messersmith comme à Augsburg puisque la plupart des usines mécaniques françaises travaillaient pour l’armée allemande.