La moins mauvaise solution serait un referendum redonnant la parole aux citoyens sur les orientations budgétaires (impôts et dépenses), les dépenses sociales (sécu, retraites), l’Europe, les institutions, le poids de l’Etat, ...
Mais ça semble aujourd’hui quasi impossible à mettre en œuvre. C’est bien dommage car les français sont gens de raison capables d’effectuer des choix.