Bien, moi je vous parle de cas concrets, de guerrillas, d’attentats, qui font chaque annee des milliers de morts, et vous me repondez (personnellement certes) avec des majorites silencieuses (dont on aimerait bien qu’elles s’expriment lors des betises telles que ces caricatures toutes nulles), puis avec des paysans du Poitou histoire de rebondir sur un de vos anciens articles.
Apparamment, ce serait plutot votre conception du dialogue qui serait monolithique. A sens unique et immuable.