La financiarisation de la dette des états conduit à une exposition dangereuse de leur souveraineté respective aux marchés spéculatifs, dont les outils comme le CDS sont de véritables armes de destruction massive.
L’argumentaire inflationniste développé par ceux qui justifie le système actuel parait peu convainquant au regard de l’instabilité économique mondiale que nous vivons aujourd’hui.
La politique monétaire et le financement des états membres de la zone euro doit impérativement rester à l’écart d’un marché financier dérégulé, dont les outils spéculatifs desservent l’intérêt général.