La raison de l’intervention en Centrafrique ?
En dépit de l’instabilité politique et des risques
sécuritaires, Air France, Bolloré (logistique et transport fluvial),
Castel (boissons et sucre), Total (stockage et distribution des produits
pétroliers), CFAO (distribution automobile) ont maintenu leurs
implantations en RCA. L’arrivée en 2007 de France Télécom dans la
téléphonie mobile marque un certain intérêt des investisseurs français.
Les pillages consécutifs à la prise de Bangui par les rebelles le 24
mars ont fortement perturbé l’activité des entreprises françaises.
Alors qu’Areva avait signé un accord avec le
gouvernement centrafricain le 1er août 2008 pour l’exploitation du
gisement d’uranium de Bakouma (Est), les nombreuses difficultés
(éloignement du gisement, mise au point du procédé de traitement du
minerai, fourniture d’énergie, insécurité) et la baisse des cours
mondiaux d’uranium à la suite de la catastrophe de Fukushima ont conduit
Areva à suspendre ce projet.
C’est toujours et encore les mêmes et les mêmes raisons, je suis pas complotiste c’est la version officielle tirée du site de la diplomacie française.
Celà, renforcé par le fait que les chinois ont commencé à construire un stade de 20.000 places, des logements sociaux.. récemment. Faut montrer (symboliquement) qui est le chef.