Le risque majeur des OGM est la brevetabilité du vivant qu’il implique et à laquelle il faut rester opposé.
Le reste n’est que fantasme : comme le rappelle l’auteur, une application rigide du fameux « principe de précaution » aurait emêché l’éclosion de l’agriculture et les progrès de la médecine. Mais si certains préfèrent l’utilisation de pesticides aux OGM, libre à eux. Enfin, même si nous-mêmes souffrons de surproduction, les OGM peuvent être envisagés comme solution partielle aux problèmes de l’agriculture dans des conditions difficiles (Afrique...)
Je serai curieux de savoir comme s’opère la ligne fracture entre partisans et opposants d’OGM d’un côté, et partisans et opposants des manipulations génétiques téléthonesques (HGM). Je subodore un certain nombre d’incohérences dans les positions.