Quand l’Europe assure une concurrence libre et non faussée entre un polonais payé à 0.5 € de l’heure et un français à 9,43 € de l’heure, il n’y a plus de projet industriel possible.
Il n’y a pas non plus possibilité de discuter de la survalorisation de l’euro, puisque tout récemment le chef de la CSU poussait des cries d’orfraies lorsque la BCE a porté ses taux d’intérêts à 0.25%.
Nous sommes dans une Europe malade de son vieillissement et des prérogatives qui en découlent, et tout particulièrement l’Allemagne.
Nous n’avons pas à nous plier à leurs injonctions qui ne mènent à rien.
A moins que vous souhaitiez que la France rejoigne le traitement de faveur réservé aux pays méditteranéens de l’eurozone, je ne vois pas trop quel est votre projet.