Le mouvement de toute cette collection de traîtres continue sans freins. sans résistance aucune.
Les mouvements populaires sont désormais récupérés par les syndicats pourris achetés et les gauchisants en fronts autorisés, et guidés par des francs-maçons.
Ils réécrivent l’histoire en continue, ils effacent toutes leurs traces du Web et de partout.
L’esclavagisme planétaire total est leur seul but.
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Hier je suis passé pour la première fois sous ces fameux nouveaux portiques, quatre fois. C’est big Brother qui espionnent tous les automobilistes et les fiscalise par une société entièrement privée.
Ce fut un impressionnant moment d’effrois. J’ai eu la peur de ma vie, l’impression d’être en plein millieu d’une guerre interplanétaire, agressé par une organisation totalitaire extrême.
Ces portiques sont effrayants, pire que dans les films.
Il ne reste plus qu’à leur adjoindre des armes lourdes, probablement prévu.
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- La France est entre les mains de hordes de prédateurs destructeurs depuis de multiples décennies, bien avant De Gaulle même, et qui mesurent l’humanité à l’aune de leurs esprits diaboliques, de leur corruption.
Comme point de départ de l’agression moderne de la France et du peuple, j’aime partir de 1965, F. Mitterrand contre De Gaulle, tout un groupe d’anciens fascistes qui détiennent l’Europe aujourd’hui, la BCE, etc. Dans ce groupe, il y a même un ancien SS français engagé volontaire côté Allemand, repenti encore vivant à Mullouse, il aurait fait la connaissance de P. Beregovoy en Algérie chez les zouaves lors d’un service militaire de mise en règle avec la réinsertion citoyenne après guerre.
- Tous ces trous-du-cul ne sont pas que sur le Web, ils sont partout, dans toutes les directions politiques, administratives, médiatiques, économiques, financières... partout !
- Ils sont en train de détruire même le génome de l’homme, et ils pensent que dans leurs villes souterraines ils seront à l’abri. Puff ! Des ignorants primitifs.
- Pour une bonne partie, ils connaissent surtout l’art du viol pédophile.
- Tous ces primates n’ont pas idée qu’un jour ils auront une amertume éternelle à supporter. Ils ne connaissent rien de la réalité.