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soi même 5 janvier 2014 15:16

Toujours la même trahison de la par des Socialistes ;

Depuis la fin de la guerre, passons sur ceux qui ont votés les pleins pouvoirs à Pétain .
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- Guy Mollet : leader du parti socialiste (SFIO), entré dans les cabinets ministériels dès la fin de la guerre (Blum puis Pleven). C’est le seul de la bande qui n’a pas de sympathies nazies ou fascistes affichées. Toutefois, c’est l’un des rares socialistes à être un admirateur des Etats Unis et de l’Europe. Il a rejoint le Comité d’action pour les États-Unis d’Europe de Jean Monnet, installé à Lausanne. Mollet était aussi un fan de la Communauté Européenne de Défense, ce qui a créé la polémique au sein de la SFIO.

- président du Conseil) avait carrément proposé en septembre 1956 au premier ministre anglais, Anthony Eden, de rattacher la France à l’Angleterre

- C’est Mollet qui a fait passer le traité de Rome en 1957 qui instaure la communauté économique européenne avec tout un tas d’institutions financières telles que la Banque Centrale Européenne.
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http://www.wikistrike.com/article-le-bilderberg-ou-les-origines-nazies-et-franc-maconnes-de-l-europe-117168228.html
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- François Mitterrand n’eut, durant sa présidence, aucun différend sérieux avec Ronald Reagan et Margaret Thatcher qui, au même moment, amorçaient le virage ultra-libéral du monde anglo-saxon.

Il prononça, et nous n’aurons garde de le lui reprocher, un discours décisif au Bundestag le 20 janvier 1983 : « les euromissiles sont à l’Est et les pacifistes à l’Ouest. » Ce discours où, seule en Europe occidentale, la France apportait clairement son appui aux États-Unis, au nez et à la barbe des ministres communistes, permit à Ronald Reagan d’installer les fusées Pershing et de gagner ainsi la bataille ultime de la guerre froide.

Le premier voyage du nouveau président hors d’Europe eut pour destination l’Arabie saoudite, il alla bien vite ensuite en Israël, ce qu’aucun président français n’avait jamais fait. Deux pays qui ne passaient pas, c’est le moins qu’on puisse dire, pour des alliés de l’Union soviétique !

Les archives ont révélé l’affaire Farewell par laquelle les services secrets français apportèrent alors un coup de main décisif aux Américains contre les Russes, assoyant la crédibilité du nouveau président comme allié sûr de Washington.

Nous avons déjà évoqué la concession capitale de François Mitterrand à Ronald Reagan en 1984 quand il accéda à la demande des Américains de soumettre la politique agricole commune à la mécanique du GATT, décision dont les conséquences devaient être désastreuses pour nos paysans.

Les Américains avaient-ils d’ailleurs des raisons de s’inquiéter ? François Mitterrand avait été sous la IVe République un ami constant de l’Amérique.

À la fin de la décennie quatre-vingt, la France de Mitterrand participa à la première guerre du Golfe contre l‘Irak, alors que, quinze ans plus tard, la France de Chirac devait s’abstenir pour la deuxième.

Lors de la décomposition du bloc soviétique, la France sembla réagir maladroitement à la réunification de l’Allemagne, paraissant vouloir la freiner, mais comment reprocher au président français de tenter de prendre quelques garanties contre d’éventuelles velléités de reconstitution de la grande Allemagne ?

Il s’en faut de beaucoup que la France ait été aussi judicieuse dans la gestion économique de la réunification. Pensant jouer au plus malin avec Helmut Kohl, François Mitterrand promut la création de la monnaie unique européenne  : l’Allemagne réunifiée étant devenue trop forte à son gré, il pensa la « tenir » par là. Tel fut pris qui croyait prendre. C’est le contraire qui se passa : l’Allemagne imposa que l’euro (dont elle imposa le nom de préférence à l’écu qui sonnait trop français) soit géré comme le mark ; de fait, avec le traité de Maastricht, l’ensemble de l’Europe entrait dans la zone mark. Le régime monétaire optimal pour les Allemands n’étant pas le même que pour les Français, la croissance française s’en trouva, comme nous l’avons vu, durablement entravée et la France affaiblie.
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http://www.atlantico.fr/decryptage/epines-rosier-francois-mitterrand-place-france-coupe-etats-unis-roland-hureaux-343822.html

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Pour Hollande c’est différent, lisez que dit Shimon Pérès, cela vaut son pesant d’Or.

Shimon Pérès compare François Hollande à Léon Blum et Guy Mollet.
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La vérité sort parfois de la bouche des vieillards. En comparant publiquement, dimanche, François Hollande à deux « socialistes » français du passé, Léon Blum et Guy Mollet, le président israélien Shimon Pérès entendait peut-être faire plaisir à son homologue français.
Pourtant, la comparaison n’a rien de flatteur. Et on se demande alors si ce vieux roublard de Pérès, en s’adressant à la presse française qui accompagne Hollande en Israël (voir ci-dessous l’article de l’envoyé spécial du journal Le Figaro) n’a pas voulu glisser une peau de banane supplémentaire sous les pas du président français. .http://www.alterinfo.net/notes/Shimon-Peres-compare-Francois-Hollande-a-Leon-Blum-et-Guy-Mollet_b6056708.html

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