À population égale, une réduction de
l’écart entre la base et le sommet de la pyramide sociale, et des
inégalités qu’il traduit, s’accompagne d’une augmentation du nombre
de pauvres alors que l’accroissement de cet écart a pour corollaire
sa diminution.
Et quand la pyramide se
développe, sous le double effet de l’augmentation de la population
et des richesses que celle-ci produit, plus son sommet s’éloigne de
sa base. Ainsi, la distance qui les sépare pourra demeurer inchangée
si la base de la pyramide est élargie. Ce qui revient à dire qu’une
augmentation du nombre de pauvres entraîne une réduction de l’écart
les séparant des riches, et donc contribue, dans une mesure
déterminante, à une réduction des inégalités ; et inversement.
Il nous faut donc choisir
entre plus de riches et moins de pauvres, ou davantage de pauvres et
moins de riches.
Pour approfondir cette réaction, voir
:
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com