Bonjour, Claude-Michel.
Vous avez raison, le marché de la mort a toujours été juteux
et les croque-morts ne connaissent pas, si j’ose dire, de morte saison. Dans ce
domaine, l’imagination et le marketing sont au pouvoir avec pour objectif de
permettre aux entreprises de pompes funèbres de pérenniser, voire d’accentuer,
leurs profits.
A toutes fins utiles, voici deux articles que j’ai écrits en
2009 sur une composante de l’activité funèbre, la thanatopraxie : Thanatos
beauté institut et Quand
Lady Di s’appelait... Patricia.