@ Schawford,
vous dites fort justement : ’’le plus grand danger qui nous guette désormais c’est que l’hydre
gouvernée par l’empire de l’argent récupère et absorbe ce geste de la
quenelle qui symbolise désormais l’insoumission et la libération,’’
Je dirai : rien de nouveau sous le soleil puisque le capitalisme fait flèche de tous bois par sa capacité, je dirai sa spécificité à se nourrir de ses contradictions. L’hydre qui nous détruit se nourrit de ses propres déjections, le capitalisme est autophage.
Et je conclus par cette définition : le capitalisme est ce non système qui se nourrit de ses contradictions, et n’a besoin pour ce faire, d’aucun pilote. Il n’y a pas de pilotes dans l’avion infernal, et c ’est justement là que les prétendus maîtres du monde ont du grain à moudre, puisqu’ils se proposent de bâtir un gouvernement mondial.