Merci pour cet exemple qui illustre très bien ce qui peut arriver de pire lorsque précisément il n’existe plus de cadre éducatif et que l’on est d’emblée dans le n’importe quoi.
Le problème ici c’est que des élèves sont exposés un risque (bien réel) de violence sans qu’aucune limite ne soit posée a priori de sorte qu’il est impossible de constater qu’elle est franchie et dès lors, il est impossible de garantir leur sécurité.
Il faudra donc attendre le passage à l’acte ou sa répétition avant que les choses changent.
Il apparaît ainsi que la bonne volonté et la bienveillance sont impuissantes et même néfastes lorsqu’elles n’opérent pas dans un cadre structurant.