Vous avez écrit : " lui permettra d’éviter de s’abandonner aux turpitudes d’une société qui
encourage outrageusement la recherche de satisfactions immédiates.«
On peut imaginer tout ce que vous voulez, mais la seule manière de savoir sans supposer, c’est de poser des questions pour savoir d’où venaient ces actes, à quel endroit il les avait appris pour réussir à son age à les faire ainsi.
Le mettre d’emblée dans la position coupable du chercheur »de satisfaction immédiate" est une supposition bien hardie et lourde de conséquences. Surtout s’il est lui-même victime de tels actes, ce qui est une des sources connue de ce type de comportement.
Pourquoi ne pas lui poser des questions sur la source de son comportement, plutôt que de s’intéresser seulement à la disparition du signal d’alarme ?