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soi même 16 février 2014 17:28

L’humour tolérer est l’humour du fou du Roi, c’est comme cela que je comprend le message hautement symbolique de cette organisation.
Nous arrivons à un sacré paradoxe, au mon de l’humanisme s’installe la dictature de la pensé.

Un cas intéressant sur l’enjeu de la Liberté, il n’est plus licité aujourd’hui de distingue ce bien et se mal, il est désormais imposer, ce sont les voies officielles qui définies où est le bien où est le mal, quitte a mettre à mal notre liberté de le pensé !

Quand une logique binaire s’impose par la force, ce que l’on doit pensé. A pour résultat la négation pure et simple des forces d’impulsion qui pourrait émaner d’un plus grand Bien.

Il est probable que les épreuves que nous vivons aujourd’hui et dans le futur, sont justement liés que le temps où à vécus une certaine accalmie et une relative liberté de pensé, il y a eu une grande indifférence à saisir ce que veux dire justement être Libre !

Car ce que l’on a pas pensé il fut un temps, vient aujourd’hui la nécessité de comprendre ce que veut dire être Libre.
Et l’on comprendre maintenant que cette définition de la Liberté sur les désirs et les instincts, non seulement révèle qu’elle est illusoire, mais elle est aussi fausse !

Car être libre,ne peut pas se concevoir aux dépends des autres, et maintenant justement avec ses faits divers qui attaque nos valeurs fondamentales, et aussi la meilleur occasion pour se saisir de la véritable impulsion de la Liberté !

« Lorsque Kant dit du devoir : « Devoir ! Nom sublime, nom grandiose, qui ne contient en toi rien d’aimable et recélant la flatterie, mais qui exige la soumission », toi qui « établis une loi (…), devant laquelle se taisent toutes les inclinations, même si en secret elles agissent en son encontre », l’homme qui parle à partir de la conscience de l’esprit libre lui répond : « Liberté ! nom accueillant, nom humain, toi qui contiens en toi tout ce qui est cher à la moralité, que mon humanité estime au plus haut point et qui ne fais de moi l’esclave de personne, toi qui ne te contentes pas de poser une loi, mais qui attends ce que mon amour moral reconnaîtra lui-même comme loi, parce qu’en face de toute loi qui ne lui est qu’imposée il se sent non-libre. » R S.


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