« …Alors que les milieux
d’affaires font savoir haut et fort que seule une réduction du SMIC de
20 % est susceptible de relancer et sauver l’économie française, faisant ainsi peser sur les épaules des
plus fragiles et des plus démunis le poids de la responsabilité collective,
…. ».
Déjà habitués aux inépuisables sornettes de l’auteur,
ce boniment supplémentaire ne pourrait que faire sourire.
Toutefois, ces larmes versées sur les
plus fragiles et les plus démunis procèdent
d’un cynisme particulièrement puant, en
regard des tous nouveaux contribuables qui furent « élus » en mai
2012 avec l’élection de « moi-président-pour-le-changement-maintenant ».
En effet, ces malheureux, qui n’avaient jamais subi le gangstérisme fiscal direct
de leur vie, sont impitoyablement, systématiquement et scientifiquement rackettés
par la fiscalité directe depuis l’exercice 2012.
Est-ce vraiment comparable à une hypothétique réduction du SMIG ?
Ne serait-il pas plus intelligent d’éradiquer, d’abord, le collectivisme rampant
dont l’inéluctable progression ruine rédhibitoirement notre pays depuis mai
2012 ?