Pour des dirigeants politiques même, l’Europe n’est qu’une hypothèse ; on est loin d’en savoir le vrai destin.
Il y a plus de mille lobbies autour des sept institutions européennes majeures et de leurs membres.
Les directives qui tombent comme grêle, démontrent - merci Bolkenstein - chaque jour l’intention et la volonté d’une pensée qui n’a rien d’une hypothèse. Chez les « élites » on est dans la soumission aux entreprises et à la finance, et on s’arrange pour que celà dure.
Certains scandales impliquant des ministres montrent que les « élites » ne font pas de spéculations floues, mais de véritables affaires.
Elles sont ACHETEES bien souvent.
Une infime partie, sans doute, des cas de corruptions et autres laisser-faire remontent, parce que trop gros.
Mais le dessous de table, courant dans les batailles d’entreprises ne peut qu’être la véritable « lingua franca » du travail « politique » des élites européennes, puisqu’on laisse prospérer cette quantité incroyable de lobbies qui sont l’émanation du monde des affaires fonctionnant de plus en plus avec la « lingua franca », quand ce n’est pas avec l’argent sale.
Prétendre qu’il n’y a qu’hypothèses vagues relève de la malhonnêteté intellectuelle, ou de la cécité.
Pas la peine d’aller spéculer fumeusement si on est pas capable de voir une Europe des élites anti-citoyennes chaque jour à l’oeuvre, chaque jour la main tendue vers les entreprises et la Bourse, pour recevoir et les ordres et les rançons.
UE delenda est !