Quand on se rend compte que l’une des phases suivantes de la libération sexuelle, c’est l’abaissement de la majorité sexuelle à 8 ou 10 ans - au nom du « droit des gosses à une sexualité épanouie », si, si, ce sont des arguments qu’on entend -, et qu’elle passe par l’éducation des enfants à la consentance, on se dit, même quand on est agnostique comme moi, qu’il ne faut pas attendre le seuil d’irréversibilité pour intervenir