Mais je n’ai jamais remis en cause le site d’Alise-Sainte-Reine. J’ai été même un des premiers à le défendre alors qu’il était attaqué de toutes parts. Le journal le Monde a été alors bien content de me trouver. C’est quand j’ai commencé à contester le site de Bibracte que les portes se sont fermées.