Voltaire : « Dans ce sens, effectivement, l’élection d’un euro-tiède, partisant du ni-ni, que ce sujet intéresse peu et voulant éviter de se retrouver dans la position de perdant de l’après-référendum, seraient une catastrophe. Hélas, les 2 favoris des sondages, Royal et Sarkozy, sont plutôt sur cette ligne... »
Oui, en effet, ces prévisions de pré-campagne électorale ne sont pas très réjouissantes. C’est probablement pour cette raison que les institutions européennes et les peuples européens ont le regard tourné vers la France et cette échéance de mai 2007.
Si la France veut avancer, il faut qu’elle le fasse à travers son activité européenne. Une France dynamique à l’échelle européenne serait une France + ouverte à l’activité étrangère et plus à même d’affronter ses difficultés intérieures.
Il faut que notre peuple assume cette intégration européenne et pour cela apprenne à s’intéresser à ses pairs plutôt que de continuer à croire - avec cet ego démesuré bien caractéristique - qu’il peut continuer de vivre en ’autarcie’ politique, sociale et culturelle sur cette Terre.
Le monde avance. Il ne nous attendra pas.