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DG. DG. 26 octobre 2006 11:35

Européen de coeur, résolument mais anti-maastricht de raison (économique, démocratique), l’article pose un vrai débat sur l’implication du président dans le fonctionnement de l’Europe.

@ Neos « il faut que notre peuple assume cette intégration européenne et pour cela apprenne à s’intéresser à ses pairs plutôt que de continuer à croire - avec cet ego démesuré bien caractéristique - qu’il peut continuer de vivre en ’autarcie’ politique, sociale et culturelle sur cette Terre. »

personnellement, je ne peut adhérer a la premiere partie qui consiste politiquement a considerer les chose signés comme définis pour l’éternité, c’est a dire l’abdication du politique face a une « contrainte » exogéné réelle ou imaginaire. Ensuite, la mesure du résultat du refendum n’a pas ete suivit d’acte par le président, notamment pas de retrait de la signature francaise du projet de traité ; implicitement, le débat est a demi-clos, on espere que la tempete passera. on voit toute le faiblesse du Président face a l’europe, incapable d’endosser l’avis du peuple français, et effrayé par le regard de ses pairs. les résultats du référendum au Pays bas auraient du lui faire comprendre que le probleme n’est pas que français. Même, je suis convaincus, que ce n’est pas l’expression d’une volonté « autarcique », comme l’auteur semble le croire. Que cela s’exprime par un vote « nationaliste », n’est qu’un vote par défaut, impulseé par quelque opportuniste.

je reste intimement convaincu que le mode communautaire d’intégration de l’europe a atteint ses limites et devient même un répulsif. Au fur et a mesure, que l’europe se construisait selon ce modele, l’impasse se refermait.

c’est la forme globale d’organisation de l’europe qu’il faut changer, soit sortir du mode communautaire, et le Président devrait en faire une priorité de son mandat.

Neos, vous avez bien raison de rappeler que c’est le conseil qui décide, et heureusement. malheureusement, vous minimisé, le rôle de la commission dans son role politique et juridique (réécriture des textes, avis contraignant...). Le Conseil s’est déssaisi quasiment de la gestion quotidienne de l’europe, et les ministres, lorsqu’ils appliquent les textes européens, se cachent invoquant la faute a Bruxelles. vous sous estimer le role de la commission et le déterminisme politique et économique des traités. Il ne faut pas apres s’étonner de l’incohérence entre volonté des peuples européens et les politiques européennes au niveau européen et international.

C’est le sens du combat que doit méner un nouveau president : cohérence entre les aspiration des peuples européens au sein de chaque Etats avec application effective, et union effective politique et économique au niveau europeen et international cohérente avec les aspirations des dis peuples. cela suppose un grand boulversement des mentalités des eurocrates, notament, la reduction drastique du role de la commission, qui ne serait plus q’un agent de liaison entre le Conseil et le parlement, mais aussi de renforcer considerablement les coopérations interétatques au sein de l’Europe, sans seuil minimal d’Etat, pour tout sujet au dehors du champ de compétence commun ou avec dérogations vis a vis de ce champ de compétence.


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