D’ailleurs pour Marx le communisme final, c’est à dire en fait une société anarchiste socialiste sans état, ne pouvait se faire qu’avec une révolution internationale.
Mais Mitterrand entre le « réalisme » en fonction des pressions internationales, et le renoncement total, a choisi finalement la seconde voie. D’un autre côté pour beaucoup Mitterand n’a jamais été un vrai socialiste.