« Dommage qu’on n’ait pas un mec de la trempe de Poutine pour diriger ce pays. »
Mais vous en aviez un, il se nommait Sarkozy, grande gueule lui aussi, certes un peu agité, et vous l’avez jeté !
Tant pis pour vous, il ne vous reste que des seconds couteaux : des Montebourg, des Mélenchon, voire des Le Pen, autant dire beaucoup d’agitation et d’éructations, mais peu d’effets !
Quel homme ce Poutine tout de même ...