On s’y habitue. L’argumentation de morice se base sur celle des cours de recré, avec trois phrases-clefs à peine améliorées :
« Nan, c’est toi d’abord » : on ne fournit pas de contre-argument, on se contente de dire que l’autre est incompétent.
« T’es pas beau » : on accuse l’autre d’être un troll, une hyène, un malade, un facho ou que sais-je... Encore une fois, ça évite le recours à la logique et l’argumentation.
« Vous êtes que des méchants. Je vais le dire à mon grand frère/père/maîtresse » : Quand les deux premières méthodes ne fonctionnent pas, on joue la victime et on demande à la modération de censurer les vilains détracteurs. Quand la modération ne veut pas manger de ce pain-là, on l’insulte.