@ Hoarn
Nous pouvons que vous félicitez de vous être courageusement expatrié, et que vous ayez débarrassé le plancher, ceci dit sans arrières pensées. Vous méritez toute notre reconnaissance nationale et agoravoxienne, car ici, dans ces contrées toujours agitées par quelques remaniements qui furent vos terres natales, chacun nous bassine sans répit avec l’immigration, à croire que nous sommes envahis des hordes d’étrangers. Vous comprendrez donc l’immense soulagement que nous avons de vous lire, et combien nous sommes ravis que vous soyez heureux de l’être. Vous m’avez compris, surtout ne revenez pas, vous ne feriez qu’aggraver la situation.
Avec toute notre reconnaissance